Faites chauffer le bitume avec nos chaussures running de route !
La chaussure running est l’élément clef de votre course, car c’est elle qui vous préserve des chocs et qui assure la stabilité de votre pied, ainsi que le bon alignement de vos articulations.
Vous souhaitez courir avec des chaussures running faites pour vous et découvrir de nouvelles sensations ? Alors venez nous rendre visite en boutique ! Après avoir cerné vos attentes et analysé votre foulée sur tapis de course, vous pourrez tester une sélection de modèles parfaitement adaptés à votre profil. Et avec une large gamme de plus de 50 modèles, vous êtes sûr de faire le bon choix !
Trail Running Store s’adresse aussi bien aux coureurs sur route qu’aux trailers. Vous êtes actuellement sur la page dédiée aux chaussures running de route, si vous souhaitez en savoir plus sur notre gamme trail nous vous invitons à vous rendre sur notre page dédiée aux chaussures de trail.
Pour sélectionner les meilleures chaussures running, nous les testons tout au long de l’année sur des centaines de kilomètres et dans des conditions difficiles afin de juger de leur confort, de leur durabilité, et de nombreux autres paramètres. Seuls les modèles nous ayant donné entière satisfaction sont présents dans notre boutique.
Nos modèles de chaussures running de route
Pour en savoir plus sur un modèle, cliquez sur celui-ci lorsqu’un lien est visible, et découvrez sa fiche complète sur notre boutique en ligne !
Nos atouts en chaussures running de route
Le conseil
Nous prenons le temps de connaître vos habitudes de course et de cerner quels sont vos besoins et attentes pour vous conseiller LA paire de chaussure qui vous donnera envie de courir tout en vous préservant. Pour y parvenir, nous portons la même attention au choix de vos chaussures qu’à nous même lorsque nous choisissons les nôtres.
Le choix
Notre sélection de chaussures running est très étendue afin de s’adapter finement à tous les profils de coureur, et d’offrir différentes sensations de course. Ainsi, une fois votre profil déterminé avec précision, nous sélectionnons parmi des dizaines de modèles uniquement ceux qui vous sont parfaitement adaptés. Vous n’avez plus qu’à les passer au pied et à laisser parler vos sensations pour choisir le modèle idéal.
La technicité
Nous apprécions les chaussures de course à pied “traditionnelles”, mais dans le même temps nous sommes perpétuellement à la recherche de modèles qui sortent des sentiers battus et redéfinissent les codes du running. Ainsi certaines tendances peuvent faire naître des sensations de course inédites qui méritent que vous y jetiez un oeil…ou plutôt un pied ! Vous êtes curieux et aimez les surprises ? Alors venez tester nos modèles !
POUR ALLER
PLUS LOIN
Une chaussure running faite pour soi, c’est (presque) comme une paire de lunettes !
Cette analogie peut vous surprendre mais c’est vrai ! Une paire de lunettes adaptée à la vue d’une personne lui permettent de voir chaque détail. Elles sont parfaites pour ses yeux. Mais si cette personne vous prête ses lunettes, il y a de fortes chances pour que votre vision soit floue et la sensation désagréable, car elles ne sont tout simplement pas adaptées à votre vue. C’est exactement pareil pour une chaussure running : il n’existe pas de modèle qui convienne à tous les coureurs ! Seuls votre foulée et les détails de votre pratique définissent quelles chaussures peuvent vous convenir. Et ce n’est pas suffisant, car il reste une dernière étape incontournable : passer ces chaussures au pied pour choisir celle qui est la plus confortable pour vous.
C’est pourquoi il est très important d’essayer des modèles de différentes marques afin de comparer leurs chaussants respectifs et d’opter pour celui qui offre le meilleur confort.
Notre mission : trouver votre chaussure running idéale
Qu’est-ce qu’une chaussure running idéale ? C’est une chaussure qui :
est d’un grand confort et choisie à la bonne pointure
vous préserve des chocs grâce à un amorti de qualité
stabilise parfaitement votre chaîne articulaire
est adaptée aux terrains et aux distances que vous pratiquez
vous donne envie de courir jour après jour, sortie après sortie !
Pièce maîtresse de votre course, la chaussure running doit être l’objet de toutes les attentions, car un mauvais choix peut-être source d’inconfort, ou pire, de blessure. Il existe une infinité de chaussures running sur le marché, et il est souvent difficile de s’y retrouver, d’autant que de nouvelles caractéristiques ont vu le jour ces dernières années, telles que le drop, l’indice minimaliste, etc.
Que vous soyez pronateur, universel ou supinateur, à la recherche d’amorti ou de dynamisme, d’un drop élevé ou faible, que vous attaquiez du talon, du médio-pied ou de l’avant-pied, nous sommes là pour vous accompagner et vous conseiller afin de faire le meilleur choix.
Plusieurs critères définissent une chaussure running
Qu’elle soit de route ou de trail, chaque chaussure de course à pied possède des caractéristiques qui lui sont propres, et que vous allez découvrir ci-dessous. En fonction de votre morphologie, de votre pratique et de vos objectifs, ces caractéristiques peuvent avoir un impact positif, neutre ou négatif sur votre course… d’où l’importance d’être bien conseillé pour ne pas faire d’erreur !
Toutes les catégories de chaussures running sont chez TRS !
Pour chacune de ces catégories retrouvez en boutique une sélection de modèles de qualité. Et pour une information la plus claire possible les caractéristiques de nos modèles sont clairement indiquées sur notre mural de chaussures : poids, drop, épaisseur de semelle sur l’avant pied et au talon, vous saurez tout !
1 – La chaussure running selon votre foulée
Voyons tout d’abord ce qu’est une foulée : il s’agit d’un cycle complet de jambes, ce qui correspond à l’espace parcouru entre deux appuis successifs d’un même pied. On distingue lors de ce cycle une phase d’appui ainsi qu’une phase de suspension, et c’est la phase d’appui qui nous intéresse particulièrement ici, car elle concentre la plupart des forces et des contraintes. La chaussure de course à pied a pour rôle d’accompagner au mieux cette phase d’appui. Chaque coureur est unique et possède une foulée qui lui est propre, néanmoins on peut dégager 3 grands types de foulées :
La foulée universelle
La foulée pronatrice
La foulée supinatrice
A ces trois foulées correspondent trois types de chaussures qui reprennent la même terminologie, à savoir des chaussures universelles, pronatrices et supinatrices.
Vous souhaitez connaître votre foulée ?
Alors venez nous voir accompagné de votre ancienne paire de chaussure, et si vous n’en avez pas nous analyserons votre foulée sur notre tapis de course !
1.1 La chaussure running universelle
Elle est adaptée aux pratiquants ayant une foulée universelle, ce qui représente environ 45% des coureurs. L’appui déroule alors dans l’axe, et n’a pas tendance à s’affaisser vers l’intérieur ou l’extérieur. Le but de la chaussure universelle est d’accompagner le mouvement du pied sans le stabiliser particulièrement, car il n’en a pas besoin. Sa mousse amortissante est le plus souvent de même densité tout le long de la semelle, en revanche les marques jouent sur les densités de mousse et les compositions pour apporter plus ou moins de moelleux, de rebond ou de longévité à la chaussure.
NOS CHAUSSURES UNIVERSELLES
1.2 La chaussure running pronatrice
Elle se destine aux personnes ayant une foulée pronatrice, soit environ 50% des coureurs. Leur appui présente une tendance plus ou moins marquée à s’affaisser sur l’intérieur. La chaussure pronatrice permet alors de le stabiliser, grâce à l’emploi d’une mousse de densité supérieure située sur la face interne de la semelle. Il existe plusieurs niveaux de stabilisation en fonction du gabarit du coureur et de son degré de pronation, et celle-ci emploie des mousses plus ou moins denses et plus ou moins entendues.
NOS CHAUSSURES PRONATRICES
1.3 La chaussure supinatrice
Pour faire court, ces chaussures n’existent pas ! Cela s’explique par la faible représentation de ce type d’appui parmi les coureurs, puisque seulement 5% d’entre eux sont concernés. La supination est l’inverse de la pronation, à savoir un appui qui a tendance à s’affaisser sur l’extérieur. Les marques ne développent pas de modèles spécifiques pour ces coureurs, essentiellement pour des raisons de coût. Mais pas de panique ! Des solutions existent pour les supinateurs : soit choisir une chaussure universelle suffisamment stable, soit avoir recours à une semelle orthopédique si la supination le nécessite.
NOS CHAUSSURES SUPINATRICES
2 – La chaussure running selon le terrain de jeu
Les chaussures running permettent d’évoluer sur tous les terrains : bitume, gore, sous-bois, montagne, etc. A chaque terrain sa chaussure de prédilection, néanmoins il est tout à fait possible de varier les terrains de jeu avec une même chaussure. L’important est de trouver le bon compromis afin que votre chaussure ne souffre pas d’un usage pour lequel elle n’est pas conçue, sans quoi votre expérience de course et la durée de vie de la chaussure risquent de fortement se dégrader.
En boutique l’équipe de TRS est justement là pour vous conseiller le type de chaussure le plus adapté à vos terrains de jeu, afin de vous offrir la meilleure expérience de course possible.
Oui, vous pouvez courir sur chemin avec une chaussure de route !
On oppose souvent les chaussures de route aux chaussures de trail, mais il est possible de courir sur chemin dans de bonnes conditions avec certains modèles de chaussures de route, à condition que le terrain ne soit pas trop accidenté et/ou technique. En fonction de votre pratique nos conseillers vous orienteront vers le type de chaussures le plus adapté.
2.1 La chaussure running route
Elle permet d’obtenir le meilleur confort sur des surfaces dures. Les chaussures de route sont souples grâce à des mousses de densité peu élevées, et sont dotées d’encoches le plus souvent marquées sur l’avant de la semelle pour faciliter sa flexion. Le nylon mesh est quant à lui léger et respirant, et sans couture ou empiècement rigide pour donner un maximum de confort et de ventilation au pied.
NOS CHAUSSURES ROUTE
2.2 La chaussure running trail
Elle se destine aux chemins plus ou moins techniques sur des terrains plats, vallonnés ou très accidentés. Plusieurs éléments de conception la différencie d’une chaussure de route, et pour tout savoir sur ce type de chaussures, nous vous invitons à consulter notre page dédiée aux chaussures de trail.
NOS CHAUSSURES TRAIL
2.3 La chaussure mixte
Assez peu répandues sur le marché, ces chaussures sont la plupart du temps des modèles de route sur lesquels les fabricants appliquent une semelle de contact avec un crantage amélioré. Cela leur permet d’être à l’aise à la fois sur route et sur chemins…tant que ces derniers ne sont pas trop techniques ou accidentés !
NOS CHAUSSURES MIXTES
3 – La chaussure running selon votre objectif
3.1 La chaussure d’entraînement
Ce type de chaussure running privilégie l’amorti et le confort, avec une semelle souvent assez épaisse, et des éléments de stabilité pour lui donner une bonne assise. Ces chaussures ne sont généralement pas très légères et dynamiques, mais offrent une durée de vie conséquente et permette d’aborder sereinement de longues sessions d’entraînement.
NOS CHAUSSURES D’ENTRAÎNEMENT
3.2 La chaussure de compétition
Pour les coureurs en quête de performance c’est la chaussure parfaite ! A l’inverse de la chaussure d’entraînement, la chaussure de compétition favorise la légèreté et le dynamisme, et sa semelle moins structurée relègue l’amorti, le confort et la durée de vie au second plan. Même si certains coureurs l’utilisent en chaussure unique, elle vient le plus souvent en complément d’une chaussure d’entraînement, et donne sa pleine mesure sur des sorties courtes et moyennes distances, où les allures sont plus soutenues, telles que les fractionnés, et bien sûr les compétitions.
NOS CHAUSSURES DE COMPÉTITION
4 – La chaussure running selon l’épaisseur de semelle
L’épaisseur de semelle est un critère important pour de nombreux coureurs, car elle influe directement sur les sensation de course. Pour simplifier, on peut qualifier les chaussures à faible épaisseur de semelle de « minimalistes », et les chaussures à forte épaisseur de semelle de « maximalistes ». Par exemple, le modèle Saucony Type A a une épaisseur de semelle de 17mm au talon et 13mm sur l’avant pied. C’est une épaisseur assez faible, mais cela n’est rien à côté d’une Vibram Five Fingers, dont la semelle a une épaisseur de 6mm au talon et 6mm sur l’avant pied ! A l’inverse, une Hoka Bondi est épaisse de 36mm au talon et 32mm sur l’avant pied. Entre ces deux extrêmes nous retrouvons la plupart des modèles, avec des épaisseurs de semelles offrant un bon compromis entre amorti, protection du pied, et ressenti du sol.
Ne vous fiez pas aux apparences !
L’extérieur d’une semelle de chaussure running donne souvent de fausses indications sur son épaisseur réelle. En effet, pour stabiliser et maintenir le pied de façon optimale, la semelle remonte sur les côtés, parfois sur plus d’un centimètre de hauteur ! C’est pourquoi seule une coupe de la semelle permet de savoir sur quelle épaisseur repose réellement le pied.
MINIMALISTE
4.1 La chaussure minimaliste
Avec sa semelle fine, c’est une chaussure qui interfère le moins possible avec le mouvement naturel du pied. On se retrouve alors avec des sensations proches de la course pieds nus. La protection du pied sur ce type de chaussures est minime, et le travail de proprioception très important. Une faible épaisseur de semelle peut avoir de réelles incidences sur la pose du pied, l’attaque talon n’étant plus possible car trop percutante et traumatisante. Pour pallier à cela on vient poser le médio-pied ou l’avant-pied, ce qui permet de mieux encaisser les impacts.
NOS CHAUSSURES MINIMALISTES
4.2 La chaussure maximaliste
Egalement appelée « chaussure oversize », la chaussure maximaliste se caractérise par une semelle très épaisse. L’amorti des chaussures oversize est maximal mais la proprioception est très faible, car l’épaisse couche de mousse sur laquelle repose le pied gomme les aspérités du sol. Sur ces chaussures, lorsque le coureur arrive sur l’avant-pied, l’épaisseur de la semelle limite sa flexion et produit un effet de bascule caractéristique. C’est une sensation étonnante que vous pouvez tester chez TRS !
NOS CHAUSSURES MAXIMALISTES
5 – La chaussure running selon son drop
Le drop désigne la différence de hauteur entre le talon et l’avant-pied. Il s’exprime lui aussi en millimètres. Dans le monde de la chaussure running, le drop varie de 0 à 12mm, voire 13mm sur certaines chaussures femme de marque Asics. Par exemple, notre Saucony Type A avec son épaisseur de semelle de 17mm au talon et 13mm à l’avant a un drop de 4mm. C’est un drop considéré comme faible. A l’inverse, la New Balance 860 a un drop de 12mm, ce qui est élevé.
Comme l’épaisseur de semelle, le drop peut modifier la foulée mais d’une façon différente. C’est ce que nous allons découvrir !
Drop faible et minimalisme sont 2 notions bien distinctes
On associe souvent ces deux termes mais il n’y a pas de lien direct entre les deux. Par exemple tous les modèles Hoka ont un drop considéré comme faible (car inférieur à 6mm) mais dans le même temps la plupart de leurs modèles ont des semelles très épaisses qui sont à l’opposé d’une chaussure minimaliste !
5.1 La chaussure à drop faible
D’une façon générale, un drop faible va décaler la zone d’impact plus en avant du pied et mieux la répartir, réduisant ainsi le choc encaissé par la cheville, le genou et la hanche. En revanche lors de l’extension du pied le tendon d’Achille et les mollets sont davantage sollicités.
NOS CHAUSSURES A DROP FAIBLE
5.2 La chaussure à drop élevé
Contairement aux chaussures à drop faible, un drop élevé augmente l’impact au sol et décale celui-ci vers le talon. Cependant la mise en tension du tendon d’Achille et des mollets est atténuée lors de l’extension du pied.
NOS CHAUSSURES A DROP ÉLEVÉ
6 – Quels sont les meilleurs drops et épaisseurs de semelles pour les chaussures running ?
Il existe sur le marché tous les cas de figures concernant les épaisseurs de semelles et les drops : certains modèles ont une semelle épaisse avec un drop faible, d’autres ont exactement l’inverse, etc.
Mais bien plus que la fiche technique et toutes les théories, ce qui compte c’est VOUS et votre façon de courir. Il n’y a aucune vérité, et seule une bonne connaissance de votre profil permettra de déterminer quels épaisseurs et drops sont à privilégier, et quels sont ceux à éviter.
Chez TRS nous sommes très sensibilisés sur ce sujet, et nous mettons toute notre expérience et savoir-faire pour vous conseiller des chaussures running qui respectent votre morphologie et accompagnent au mieux le déroulé de votre pied.
Pour autant, épaisseur de semelle et drop ne sont que 2 critères parmi beaucoup d’autres, et même s’ils peuvent avoir de l’importance, ils ne peuvent à eux seuls définir quelle chaussure est faite pour vous.
7 – Et l’indice minimaliste, qu’est-ce que c’est ?
Vous avez peut-être entendu parler de cet indice qui a été lancé par la Clinique du Coureur, et qui vise à classer les chaussures running en fonction de la liberté qu’elles laissent au mouvement naturel du pied. Parmi les critères utilisés pour ce classement, on retrouve l’épaisseur de semelle et le drop, auxquels s’ajoutent le poids de la chaussure, sa flexibilité et les technologies de stabilité qu’elle comporte.
L’indice s’étale de 0 à 100. Plus l’indice est élevé, plus la chaussure est en phase avec le mouvement naturel du pied, et plus l’indice est faible, plus la chaussure “contraint” le pied.
Pour illustrer l’indice minimaliste, une Vibram Five Fingers a par exemple un indice minimaliste de 100 – soit l’indice le plus élevé – car sa semelle est très fine et la chaussure est dépouillée de toute technologie. La Hoka Bondi a quant à elle un indice de 38, car sa semelle est très épaisse et rigide latéralement, et son poids est assez important. En revanche, son drop de 4mm, considéré comme faible, évite à l’indice de descendre plus bas.
On pourrait penser en lisant ces lignes qu’un indice minimaliste élevé est préférable, car il permet au pied de dérouler le plus naturellement possible au sol, sans contraintes. Mais ce n’est pas une solution miracle, car dans ce cas le risque de blessure lié à un travail important du pied n’est pas à exclure. Là encore la précaution est de mise, et ça n’est qu’au cas par cas que l’on peut conseiller – ou pas – d’avoir recours à un indice minimalisme plus ou moins élevé.
